The Ocean Race Europe : le retour aux affaires des IMOCA
Pour la première fois depuis la fin du Vendée Globe, cinq IMOCA retrouveront la compétition. Ils s’apprêtent à disputer ‘The Ocean Race Europe’ en équipage et avec escale entre Lorient et Gènes. Caractéristiques du parcours, adaptation au mode équipage, force en présence… Explications avant le départ prévu depuis Lorient le samedi 29 mai prochain.
Catherine Chabaud : « Mon énergie et mes convictions, je les ai puisées dans le Vendée Globe »
En 1997, elle est la première navigatrice à boucler le tour du monde en solitaire sans escale et sans assistance. Ces 20 dernières années, elle s’est engagée dans la défense des océans. Avec elle, nous allons parler (longuement) de Vendée Globe, d’environnement et des femmes dans la course au large.
Ce n’est pas un pic, encore moins une péninsule, c’est juste un moment crucial : la fin de course. Là où l’essentiel est fait – la quasi totalité du parcours - mais pas le principal, à savoir le franchissement de la ligne d’arrivée. C’est un dernier cap à franchir, alors que les conditions de navigation sont très souvent mauvaises à partir des Açores et sur la voie sans issue du Golfe de Gascogne.
Ils l’ont attendu pendant des jours et en ont même rêvé : le premier repas, sur une table stable, loin des plats lyophilisés et du réchaud. Entre leurs choix parfois détonants et l’organisation en cuisine, retour sur l’histoire de ces repas pas comme les autres.