Le Vendée Globe souhaite utiliser la puissance médiatique de l’événement pour sensibiliser le public, tout au long du parcours de la course autour du monde, à la préservation des océans. En parcourant la planète à la voile, les marins du Vendée Globe mettent en lumière la fragilité de notre océan face au réchauffement climatique. Ils sont les témoins directs des changements en cours, notamment autour de l'Antarctique, une région particulièrement menacée.
Brèves en continu
- Arnaud Boissières annonce le rachat du bateau de Benjamin Dutreux
- Le skipper canadien Scott Shawyer rachète l’IMOCA de Sébastien Simon
- Fabrice Amedeo repartira en 2028 pour un 4e Vendée Globe avec FDJ United
- Cap sur le Vendée Globe 2028 pour la MACSF et Corentin Horeau
- Justine Mettraux, un IMOCA neuf pour 2028
Classement


Mobilités douces
L’aventure Vendée Globe ne débute pas aux Sables d’Olonne ! Elle débute de chez soi, en empruntant un moyen de transport décarboné pour se rendre sur le village de course. L’organisation a mis en place une commission mobilité afin de réunir tous les acteurs publics et privés concernés et proposer des solutions de mobilité douce pour se rendre sur le village.

C'est quoi le Vendée Globe ?
Le Vendée Globe est un tour du monde à la voile en solitaire, sans escale et sans assistance, qui a lieu tous les quatre ans. Il se dispute sur des IMOCA, des monocoques de 18 mètres de long. Les skippers partent des Sables-d'Olonne en Vendée, parcourent environ 45 000 kilomètres autour du globe en contournant les trois caps mythiques (Bonne Espérance, Leeuwin et enfin le cap Horn) pour revenir aux Sables d’Olonne. La course a acquis une renommée internationale, attirant des skippers du monde entier. Au-delà de la compétition, c’est avant tout une incroyable aventure humaine.